En 1997, j’ai 25 ans et je découvre le patchwork dans l’association de quartier de La Couronne dans les Bouches du Rhône. Une discipline variée qui mêle créativité et minutie. Pile poil ce qu’il faut à mon caractère perfectionniste et artistitique. A « cause » de l’animatrice., passionnée et exigeante, je deviens très vite boulimique, voire accro. Travail main, machine, tout y passe. Je vis, je mange et je dors patchwork !!!
Si bien que 3 ans et un déménagement plus tard (dans un petit coin de paradis des Hautes-Alpes), me voilà moi aussi à la tête d’un groupe de « filles » que je m’emploie à contaminer au virus du patchwork. Depuis, je les « malmène » à coup d’harmonie de tissus, de connexions impeccables, de repassage rigoureux mais rien n’est plus redouté que la phase finale du quilt : le matelassage !!!
A la main c’est trop long, à la machine c’est difficile, technique, physique, on a peur de « gâcher» son travail. Alors on empile ses ouvrages dans un placard en espérant qu’une fée bienveillante les matelassera pendant la nuit. Les appréhensions et les difficultés de la plupart de mes élèves sont le reflet de beaucoup de patcheuses. Ainsi, pour tous ces ouvrages qui attendent patiemment dans l’armoire et très égoïstement pour moi qui adore quilter, j’ai décidé (sous les encouragements de mon plus grand fan : mon mari) de me lancer dans l’aventure du matelassage sur machine long-arm.
N’hésitez donc pas à me contacter afin que nous déterminions ensemble le matelassage qui correspond le mieux à votre travail.
Acropatcheusement vôtre.
Carine
Ma grosse machine ∇